Je lis les romans de Werber depuis les fourmis. J'aime la structure en trois temps (histoire principale, histoire parallèle et encyclopédie). On retrouve dans ce dernier roman la même structure. J'ai aimé la narratrice Gaïa la Terrre, les idées proposées par l'auteur me parlaient déjà, à savoir que la Terre est nous et nous sommes la Terre. indissociables. J'ai aimé le clin d'oeil à l'oeuvre d'Azimov (les robots). Et finalement, je venais de sortir de ma ''grippe de la fin du monde'' à la lecture de ce roman, pour y retrouver en mots un autre virus de la grippe super dévastateur...C'est à suivre (pour vrai, c'était le premier tome..!)